L'horlogerie française, ça en est où ?
Mar 04, 2022
La ville De Besançon produit jusqu’à 90% des montres françaises à la fin du XIXème siècle et fait d’elle la « Capitale française de l’horlogerie ».
Seulement aujourd’hui des marques, parmi tant d’autres, comme Cartier, Hermès ou encore Louis Vuitton ont choisi la Suisse pour confectionner leurs montres, confirmant ainsi son monopole et son excellence.
Est-il encore possible d’inverser cette tendance ? L’hexagone est il capable de redorer le blason du mouvement français ?
Dans le domaine du luxe, la marque Peguinet crée un calibre Royal en investissant plusieurs millions dans une manufacture ultramoderne. D’autres acteurs du marché se lancent également dans un mouvement maison mécanique. L’avantage est qu’il est moins coûteux de fabriquer, assembler et emboîter en France qu’en Suisse car les salaires y sont plus bas.
La production s’est effectivement orientée vers du haut-de-gamme, car la plupart des montres bas-de-gamme sont fabriquées en Asie. A l’exception notable de la marque LIP qui a su s’imposer comme LA marque française de montres.
Si beaucoup de marques comme MAT, Briston ou Poiray assemblent une partie de leurs montres en France, de nouvelles maisons horlogères sont apparues ces dernières années avec comme projet de faire du Made In France.
Même si les exportations progressent, le 100% français est cependant devenu impossible car certaines compétences ont disparu du pays.
Seulement aujourd’hui des marques, parmi tant d’autres, comme Cartier, Hermès ou encore Louis Vuitton ont choisi la Suisse pour confectionner leurs montres, confirmant ainsi son monopole et son excellence.
Est-il encore possible d’inverser cette tendance ? L’hexagone est il capable de redorer le blason du mouvement français ?
Dans le domaine du luxe, la marque Peguinet crée un calibre Royal en investissant plusieurs millions dans une manufacture ultramoderne. D’autres acteurs du marché se lancent également dans un mouvement maison mécanique. L’avantage est qu’il est moins coûteux de fabriquer, assembler et emboîter en France qu’en Suisse car les salaires y sont plus bas.
La production s’est effectivement orientée vers du haut-de-gamme, car la plupart des montres bas-de-gamme sont fabriquées en Asie. A l’exception notable de la marque LIP qui a su s’imposer comme LA marque française de montres.
Si beaucoup de marques comme MAT, Briston ou Poiray assemblent une partie de leurs montres en France, de nouvelles maisons horlogères sont apparues ces dernières années avec comme projet de faire du Made In France.
Même si les exportations progressent, le 100% français est cependant devenu impossible car certaines compétences ont disparu du pays.